Dans le cadre du partenariat économique entre le Maroc et l'Argentine, l'industrie pharmaceutique et les technologies de l'information sont mises en avant. En 2024, les échanges commerciaux entre les deux pays étaient d'environ 1 milliard de dollars, un chiffre jugé modeste malgré la complémentarité des deux économies et la diversité des secteurs d'intérêt commun, notamment l'industrie pharmaceutique et les technologies de l'information.
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L'Argentine, qui est un pays membre du Mercosur, est principalement connue pour son football, sa production de viande bovine et ses céréales du côté de l'Atlantique. Cependant, en tant que partenaire du Royaume, ce pays d'Amérique latine se distingue dans de nombreux domaines, notamment l'industrie pharmaceutique et la technologie de l'information (développement de logiciels).
Aujourd'hui, la CGEM a reçu une visite de chefs d'entreprise argentins travaillant dans deux secteurs clés, qui sont également essentiels pour le développement du Maroc. Il s'agit de l'industrie pharmaceutique et de l'IT, en particulier la création de logiciels dans les domaines de la santé, des finances, de l'éducation et de l'agriculture.
Une augmentation des transactions commerciales
En 2024, les échanges commerciaux entre les deux secteurs spécifiques étaient d'environ 1 milliard de dollars. Cependant, ce chiffre est considéré comme inférieur aux opportunités offertes par les deux parties.
Cependant, il est prévu que la valeur des échanges commerciaux entre les deux pays pour cette année soit plus élevée que l'année précédente.
Il est prouvé que, seulement au cours des 7 premiers mois de 2025, les échanges commerciaux entre les deux pays ont atteint presque 680 millions de dollars, mais avec un déficit commercial pour le Maroc.
Cela étant dit, les entreprises au Maroc et en Argentine ont mis en place des structures pour promouvoir les échanges commerciaux bilatéraux et encourager le co-investissement, qui est encore limité. C'est dans ce contexte que le Conseil d'Affaires Maroc-Argentine a été créé, sous la présidence d'Amine Berrada Sounni.
Le Maroc est une opportunité de marché intéressante pour les entreprises argentines.
Il n'est pas surprenant de constater que les domaines de la pharmacie et de l'informatique sont largement représentés dans la délégation argentine qui visite le Maroc.
Les exportations de ces deux secteurs en Argentine sont en plein essor. Chacun d'eux génère environ 2 milliards de dollars en exportation, selon Amine Berrada Sounni. Il explique que les entreprises argentines voient le Maroc comme un point d'entrée stratégique vers les marchés européen et africain.
Il est important de se rappeler que le royaume est membre de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF) et est lié au Vieux continent par un accord d'association qui vise à établir une zone de libre-échange pour les produits industriels et à progressivement libéraliser les produits agricoles et de pêche.
En ce qui concerne les opérateurs des secteurs marocains mentionnés, Berrada est convaincu qu'ils peuvent bénéficier des opportunités de partenariat offertes lors des rencontres BtoB pour établir des relations stratégiques avec les entreprises argentines (partage des investissements, transfert de technologie, exportation, importation, etc.).
Cependant, la Commission internationale de la CGEM, dirigée par Anas Guennoun en tant que Vice-président, reconnaît l'importance d'organiser davantage de rencontres entre les entrepreneurs marocains et argentins afin d'explorer les possibilités offertes par divers secteurs d'intérêt commun aux deux pays (agriculture, gestion de l'eau, équipements agricoles, industrie automobile, etc.). Cela aidera à renforcer et diversifier le partenariat économique entre les deux nations.
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