Selon une étude menée par la Vie éco, les entreprises du secteur manufacturier prévoient une augmentation de leur production au cours du troisième trimestre. Cette croissance serait principalement due à une augmentation de l'activité dans les secteurs de l'industrie alimentaire, chimique et des produits minéraux non métalliques, tandis que l'industrie automobile et la fabrication d'équipements électriques connaîtraient une baisse d'activité.
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Les sociétés opérant dans le secteur de la fabrication prévoient une augmentation de leur volume de production au troisième trimestre de l'année 2025, d'après les prévisions du Haut-Commissariat au Plan (HCP).
Cette progression s'explique principalement par une augmentation de l'activité dans les secteurs de l'alimentation, de la chimie et des autres produits minéraux non métalliques, ainsi que par une baisse dans l'industrie automobile et la fabrication d'équipements électriques. C'est ce que rapporte le HCP dans un document présentant les résultats des enquêtes trimestrielles sur la situation économique des secteurs de l'industrie, de l'extraction, de l'énergie, de l'environnement et de la construction.
En ce qui concerne les prévisions d'emploi, les professionnels de l'industrie prévoient en général que les effectifs resteront stables.
Dans le domaine de l'extraction minière, les sociétés de ce secteur prévoient une augmentation de leur production au cours du troisième trimestre 2025, principalement en raison d'une hausse de la production de phosphates. En ce qui concerne les emplois, les dirigeants du secteur prévoient une stabilité.
Augmentation de la quantité d'énergie produite
On prévoit une augmentation de la production d'énergie pour le troisième trimestre 2025 en raison de l'augmentation de la production et de la distribution d'électricité, de gaz, de vapeur et d'air conditionné. Cependant, il est prévu que l'emploi diminue pendant la même période.
En ce qui concerne le secteur de l'environnement, les entreprises prévoient une production stable, en particulier dans les domaines du captage, du traitement et de la distribution de l'eau, ainsi qu'une stabilité du nombre d'employés.
Au cours du deuxième trimestre de 2025, la production de l'industrie manufacturière aurait augmenté en raison de la croissance dans les secteurs de l'industrie chimique, de l'industrie automobile et de la fabrication de boissons, mais aurait diminué dans les secteurs de la fabrication d'équipements électriques et de l'industrie de l'habillement.
Les dirigeants d'entreprise estiment que les commandes dans le secteur sont dans la moyenne. L'emploi semble stable. En général, il est rapporté que le taux d'utilisation des capacités de production dans l'industrie manufacturière est de 74%.
Selon le HCP, il est prévu que 39 % des entreprises du secteur manufacturier rencontrent des problèmes d'approvisionnement en matières premières au deuxième trimestre de 2025, principalement celles provenant de l'étranger.
Diminution de la quantité de ressources extraites au cours du deuxième trimestre.
Au cours de cette période, les réserves de matières premières étaient estimées être à un niveau standard, tandis que la trésorerie était considérée comme problématique par 19 % des chefs d'entreprise. Dans certains secteurs, comme la fabrication de produits en caoutchouc et en plastique, ce pourcentage atteint presque 30 %.
Selon les données récentes, la production dans le secteur minier aurait baissé au cours du deuxième trimestre de 2025 en raison d'une diminution de la production de phosphates. Cela aurait entraîné une augmentation des prix de vente des produits de ce secteur, mais aurait également eu un impact négatif sur l'emploi.
La production de l'industrie énergétique aurait augmenté en raison de la croissance de l'activité dans la production et la distribution d'électricité, de gaz, de vapeur et d'air conditionné. Les prix de vente des produits de ce secteur auraient également augmenté, tandis que l'emploi aurait diminué.
Finalement, la fabrication des entreprises axées sur l'environnement serait restée constante, en raison d'une stagnation dans la collecte, le traitement et la distribution de l'eau. Les demandes de projets auraient atteint un seuil habituel et le taux d'emploi aurait été stable.
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