Le Chef du gouvernement, Akhannouch, est déterminé à réussir la réforme du secteur de la Santé. Il estime qu'il est important d'être strict envers ceux qui ne remplissent pas leurs obligations et de poursuivre les actions concrètes dans ce domaine.
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Aziz Akhannouch n'est pas du genre à éviter les sujets controversés. Il a souligné lors de son discours à Marrakech le 20 septembre que l'hôpital Hassan II, dont on parle beaucoup ces derniers temps, existe depuis 1967 et a toujours eu des problèmes. Il a ajouté que les difficultés dans le secteur de la santé sont un problème ancien et qu'il est de notre devoir de les résoudre autant que possible.
Le Premier Ministre a exprimé son appréciation pour l'implication du ministre de la Santé, qui a réalisé de nombreuses visites sur le terrain, non seulement à Agadir mais également dans plusieurs régions du pays. Akhannouch a souligné la nécessité de prendre des mesures contre ceux qui ne remplissent pas leurs obligations professionnelles, faisant référence aux mesures disciplinaires prises par Amine Tahraoui, critiqué pour sa gestion de la crise.
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Le premier ministre a également rappelé aux professionnels de la santé qu'ils ont juré de remplir leurs obligations. De plus, il a mis en garde contre l'abus des ressources du secteur public : "Ceux qui pensent pouvoir continuer à utiliser nos médecins impunément doivent chercher ailleurs. Les contrôles vont se renforcer et les directives sont claires à ce sujet", a-t-il précisé.
Le président du RNI a souligné les progrès réalisés par le gouvernement dans le domaine de la santé, qui évolue vers un nouveau mode de fonctionnement, avec une meilleure gestion et des ressources plus importantes. Une des pierres angulaires de cette transformation progressive du secteur est la création de Groupements sanitaires territoriaux (GST) plus indépendants, dont le modèle est actuellement testé dans la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima.
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