Le ministre de l'Economie, des Finances et de la Réforme de l'Administration, Aziz Akhannouch, est pleinement engagé à réussir la réforme du secteur de la Santé. Selon lui, il est indispensable d'agir avec détermination contre ceux qui ne remplissent pas correctement leurs fonctions, et de poursuivre les projets visant à améliorer la situation de la Santé.
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Aziz Akhannouch ne passe pas sous silence les sujets controversés. Il a mentionné lors de son discours à Marrakech que l'hôpital Hassan II, sujet de nombreux débats récents, existe depuis 1967 et a toujours eu des problèmes de fonctionnement. Les défis du secteur de la Santé sont anciens et notre responsabilité est de les résoudre du mieux possible.
Le Premier ministre a également apprécié le travail actif du ministre de la Santé, qui a réalisé de nombreuses visites sur le terrain, pas seulement à Agadir mais aussi dans d'autres régions du pays. Akhannouch a souligné la nécessité de prendre des mesures contre ceux qui ne font pas leur travail, faisant référence aux sanctions disciplinaires prises par Amine Tahraoui, critiqué pour sa gestion de la crise.
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Le Premier ministre a aussi mentionné aux médecins qu'ils ont juré de remplir leurs obligations. De plus, il a mis en garde contre l'abus des ressources du secteur public : "Ceux qui pensent qu'ils pourront continuer à utiliser nos médecins impunément doivent chercher des alternatives. La pression va s'accentuer et les consignes sont très claires à ce sujet", a-t-il précisé.
Le président du RNI a souligné les progrès réalisés par le gouvernement dans le domaine de la Santé, qui connaît une transformation avec une meilleure gestion et davantage de ressources. Une partie importante de cette évolution dans le secteur de la santé repose sur la création de Groupements sanitaires territoriaux (GST) plus indépendants, dont le projet pilote est en cours dans la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima.
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